Philippe a écrit :S'arranger pour ne jamais devoir reculer...si terrain accidenté, la remorque se mettra en ciseau et tu ne pourras plus reculer.
Et si tu reculais, c'est que tu ne savais déjà plus avancer !
Si la main de la remorque est en compression après avoir reculé, la remorque est impossible à décrocher.
..Oui, bien sûr, et même si c'est frappé au coin du bon sens, merci de le dire !
Je devrais préciser que ce n'est pas une remorque de raid ou une Bantam "lourde de chez lourd" que je souhaite, mais une remorque légère dont la destination devrait servir dans un premier temps à monter vers le nord et, après avoir quitté la route, me permettre de me taper seulement quelques kms pour établir mon camp de pêche... Quitte à planquer la remorque à mi-chemin en pleine nature ou la déposer chez un gars du cru bien content, dans des coins peu fréquentés, de rencontrer un quidam...
Dans ma présentation, j'ai précisé que j'étais habitué aux activités de plein air. Mes bagages se réduisent donc, en général, au plus simple : deux strings camous, une brosse à dent avec le manche raccourci et un tube échantillon de dentifrice... Pour moi, le poids n'est pas le problème, c'est l'encombrement ; le matos de pêche (conséquent), le matériel de camp et l'avitaillement pour rester autonome sur une longue durée, sans même faire allusion au canoë sur le toit. De plus, lors des déplacements, ma complice dort dans le véhicule (moi, heureux comme un cochon, je dors debout contre un arbre...).
L'avantage de la remorque, c'est que planquée elle peut servir de remise à matériel et de cambuse où l'on peut retourner se servir en fonction des nécessités... Je pensais donc à une grosse bagagère fermée (Saris) et renforcée. En changeant éventuellement les pneus, voir même, en plaçant un "ski" en alu pour ne pas accrocher l'essieu et permettre au bazar de se soulever fastoche vu le faible poids de l'ensemble... Est-ce qu’une simple barre de torsion qui équipe ce type de remorque peut suffire et faut-il impérativement une "main" articulée ?
Le tout terrain, même si j'aime ça, n'est pas une fin en soi mais seulement un moyen. J'ai fait le plein de sensations en enduro moto et j'ai largement été comblé, même si la découverte du 4x4 me chatouille solidement. Mais le problème reste, comme toujours, dans l'évaluation ; on sait ce qu'on s’interdit mais on ne sait jamais sur quoi on va tomber...
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